La Station - Nice - France
Du 30-06-2018 au 29-09-2018
Partenaires : Espace A VENDRE, la Villa Arson, le 109, Botoxs, L'Eclat, la Région PACA, le Département des Alpes-Maritimes, les éditions Balléor
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Informations sur le vernissage : vendredi 29 juin de 20h à 22h
We Are The Painters
Come To Us
Une exposition en trois volets à Nice
We Are The Painters expose
dans trois lieux culturels niçois : la galerie Espace
A VENDRE, l’artist-run space La Station et sous la forme d’une intervention in situ à la Villa Arson (où le collectif effectue une résidence au printemps).
L’exposition, intitulée Come To Us, permet à We Are The Painters de mettre à plat pour la première fois une grande partie de leur travail dans des espaces aux fonctionnements et aux configurations composites et complémentaires : contexte idéal pour ce duo d’artistes qui peut ici déployer sa pratique centrée sur la peinture mais aux formes multiples : toiles, installations in situ, films, dessins…
Plus d’informations ici : http://www.wearethepaintersanice.com/
Une sérigraphie des We Are The Painters est produite à l’occasion de l’exposition Come To Us, avec le soutien d’Arnaud Maguet, de la Villa Arson et des éditions Balléor.
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Espace A VENDRE
exposition du 30 juin au 29 septembre 2018
vernissage vendredi 29 juin de 16h à 20h
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La Station
exposition du 30 juin au 29 septembre 2018
VERNISSAGE vendredi 29 juin de 20h à 22h
COME TO US PARTY de 21.30 à 01:30 // Entrée gratuite
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Villa Arson
intervention in situ du 1er juillet au 14 octobre 2018
vernissage samedi 30 juin à 18h
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à propos des We Are The Painters :
We Are The Painters est un duo d’artistes formé par Nicolas Beaumelle et Aurélien Porte. Leur nom sonne comme une affirmation, un slogan : ils sont peintres.
Depuis la formation de leur groupe en 2004, ils pratiquent une peinture inclassable.
We Are The Painters fonctionne sans que l’on sache qui des deux artistes produit un geste. Leur pratique se compose à partir d’allers-retours constants entre leurs quatre mains, le plus souvent à partir de figures obsessionnelles. Leurs portraits de femmes sont dotés de coiffures et de visages similaires ; elles semblent sorties d’une époque indéterminée.
Ils peignent et repeignent le motif du Mont Chauve, une grande colline située au nord de Nice. Ils peignent également sur les deux faces de chaises de bistrot qu’ils renversent au sol afin de pouvoir les contourner. On retrouve également dans plusieurs de leurs tableaux une sorte de béance, comme l’ouverture d’une grotte.
Et puis, il y a ce film sur lequel ils travaillent depuis plusieurs années. Paint for Ulma raconte l’histoire « d’un petit chevreau qui devient une œuvre d’art et intègre la collection d’un musée. » Dans sa quête, neuf muses le guident « de paysages en paysages et de peintures en peintures jusqu’à son ultime territoire : le musée. » Une odyssée.
Leur peinture n’est jamais clinquante, toujours à l’économie de moyens, mais toujours intrigante par les mondes primitifs qu’elle représente et par les techniques mises en place. Des grands aplats de couleur occupent généralement la toile : des couleurs chaudes, couleurs froides (primaires, secondaires, tertiaires), complémentaires ou dissonantes.
Un état naturel de l’art et du monde. Un monde singulier.